Il me manque quelque chose !
Ce qui s’est passé avec ma publication Facebook d’hier, fut assez intéressant pour moi.
Seules quatre personnes ont liké la publication.
J’ai senti un inconfort.
Et je suis allée le rencontrer dans ses profondeurs pour entendre ce qu’il souhaitait me partager.
J’ai pu identifier trois élans terriens.
D’abord, existe ce besoin de partager ce qu’il découvre/fait/savoure/aime (…). Ne t’es-tu jamais retrouvé.e devant un superbe lever de soleil… ? Tu savoures d’abord et, dans un deuxième temps, vient très souvent : « oh faut que je dise à Machin de regarder » ou « vite, j’immortalise ce ciel divin pour le montrer à Bidule ». Nous sommes des êtres de relation, de lien et notre joie s’accentue quand nous pouvons partager à l’Autre ce qui nous tient à coeur. Pour notre bonheur et en souhaitant contribuer au sien.
Ce besoin de contribution est au coeur de ma deuxième observation avec ce post Facebook complètement ignoré. J’écris ici pour de nombreuses raisons et l’une d’elles est effectivement de pouvoir apporter une touche qui d’inspiration, qui de réconfort, qui de rappels qui nous permettent de faire entrer un peu de douceur, de joie et d’énergie au creux de la vie d’autrui.
Dans le parcours qui mène à la contribution, je note un élan inspiré qui me traverse, me fait agir (ici écrire), vient ensuite l’élan du partage et pour que la boucle soit bouclée, le dernier besoin est celui du retour qui permet d’identifier si, oui ou non, ce que j’ai partagé contribue et de quelle manière.
Enfin, le troisième point qui m’est apparu se demandait si ça n’était pas suffisant que déjà quatre personnes se soient manifestées.
Une part de moi, très sage, a dit, oui, bien entendu.
Mais une autre veut toucher plus de monde, a l’élan de rayonner, de partager de la douceur et des mots en goguettes au Monde entier afin de contribuer, collaborer à l’émergence d’une Terre nouvelle… (bon, clairement, une troisième ramène sa fraise en disant « pour qui tu te prends »… mais, avec le temps, j’ai appris à lui répondre… »Moi, tout simplement »).
Ma réflexion n’est pas terminée et je pense qu’elle me mènera probablement à des adaptations, sans doute au fait de passer par email… Je poursuis mon cheminement.
Envie de te préciser aussi que mon Âme, elle, n’en a rien à caler de tout ça.
Le fait est que, je suis aussi incarnée, humaine et qu’il est également important de répondre à mes besoins d’humaine. Les nier ne m’a jamais rien apporté de bon.
Prends soin de toi.
Partage tes trésors.
Honore qui tu es !
Je te serre fort sur mon coeur !
Je pose ça là.
Moment doux à toi, moi, nous.
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